Quatre décennies de loisirs, de pur plaisir à St-Bruno !
Première
Première décennie
L’histoire des Loisirs naît tout d’abord dans l’esprit du curé Lamarche, suite à la fondation de la Paroisse St-Bruno en 1965. Enthousiaste, il suggère à ces paroissiens l’organisation de loisirs. La première activité proposée était la danse. Déjà, on recherche des bénévoles pour l’organisation de soirées animées.
Le 27 avril 1967, s’incorpore le Service des loisirs St-Bruno de Laval inc. Les trois pionniers signataires sont messieurs Jean Rousselle (policier), Gilles Dugal (cordonnier-commerçant) et Denis Bonneau (représentant).
Dans l’effervescence de l’époque de Expo de Montréal, où la grande ville s’ouvrait sur le monde, où le quartier se développait à toute allure, les trois pères de famille ont compris que l’organisation de loisirs de quartier consoliderait les liens et favoriserait le sentiment d’appartenance au milieu de vie. Ils ont convenu de fixer cinq objectifs principaux : (tiré de la charte)
A) Développer les loisirs dans la paroisse de St-Bruno de Laval
B) Intéresser la population aux loisirs ainsi qu’intéresser les institutions publiques et privées de loisirs
C) Procurer des loisirs aux enfants; aux jeunes gens et jeunes filles ainsi qu’aux adultes.
D) Procurer des loisirs par l’établissement d’un centre récréatif et culturel et de terrains de jeux.
E) Favoriser la formation religieuse, morale, sociale, patriotique, athlétique et sportive de la population de la paroisse de St-Bruno de Laval.
De 1967 à 1973 le développement des loisirs se voit restreint par la disponibilité des locaux. Les premières réunions se sont tenues au sous-sol du local de la piscine Paradis. Les cours de crochets, eux, sont offerts au presbytère situé à l’époque au 2283 rue Marc. Des soirées dansantes sont organisées afin d’amasser des fonds. On offre aussi le badminton à l’école Père-Vimont. Les négociations ont suivies avec les écoles du quartier et ont permis aux loisirs d’obtenir des locaux situés près de la clientèle visée et à des tarifs raisonnables.
Le comité organise à travers les trois paroisses : St-Bruno, St-Elzéar et Ste-Béatrice des après-midis cinéma. Les projections du même film avaient lieu le vendredi à 19h00 à l’école Les Explorateurs, le samedi à 12h15 à l’école Père-Vimont et le dimanche en après-midi à l’école Paul IV. Il en coûtait 0,35$ pour l’entrée. Les cours de judo s’offraient aussi à ces trois endroits, ainsi que la philatélie et le folklore. Tout ceci a duré sept à 8 ans. Par la suite, les loisirs des paroisses St-Elzéar et Ste-Béatrice se sont formés respectivement. En 1973, la sortie du journal de quartier : QUARTIER ST-BRUNO redonne aux loisirs un caractère plus populaire. Ainsi le groupe des membres actifs composés de sept personnes augmente à vingt-quatre puis, bientôt quarante. On le distribue à l’aide de jeunes camelots dans tous les domiciles du quartier, afin que chaque citoyen puisse être informé des activités du quartier. En 1980, on change le nom du journal. À partir de ce moment, et jusqu’à la dernière édition, le nom de BRUNOUVELLES lui est attitré. En janvier 1982, le tirage atteint deux mille deux cents (2200) copies.
Dans ce petit journal, on souligne les anniversaires de mariage, les soirées bavaroises, les tournois de golf, les fêtes populaires du quartier au parc Soleil et Père-vimont, les épluchettes de blé d’inde au parc Paradis, ainsi que d’autres activités telles que: rallye automobile, tournoi de pêche sur glace, manège spectaculaire, pique-nique au camping Pontbriand.Les différents cours offerts y sont également publicisés: échecs, ballon-vollant, danse sociale, folklore, théâtre, théâtre de marionnette, broderie japonaise, cuir ciselé, balle-molle féminine, bridge, judo wendo, artisanat, chorale, flûte, guitare, poterie et céramique, gymnastique rythmique, ballon-balai, conditionnement physique, ping-pong, cinéma, pour ne nommer que ceux-là. Monsieur Maurice Charest prend la direction du journal. (tiré du brunouvelles vol.2 no.2 mai 1981)
L’histoire des Loisirs naît tout d’abord dans l’esprit du curé Lamarche, suite à la fondation de la Paroisse St-Bruno en 1965. Enthousiaste, il suggère à ces paroissiens l’organisation de loisirs. La première activité proposée était la danse. Déjà, on recherche des bénévoles pour l’organisation de soirées animées.
Le 27 avril 1967, s’incorpore le Service des loisirs St-Bruno de Laval inc. Les trois pionniers signataires sont messieurs Jean Rousselle (policier), Gilles Dugal (cordonnier-commerçant) et Denis Bonneau (représentant).
Dans l’effervescence de l’époque de Expo de Montréal, où la grande ville s’ouvrait sur le monde, où le quartier se développait à toute allure, les trois pères de famille ont compris que l’organisation de loisirs de quartier consoliderait les liens et favoriserait le sentiment d’appartenance au milieu de vie. Ils ont convenu de fixer cinq objectifs principaux : (tiré de la charte)
A) Développer les loisirs dans la paroisse de St-Bruno de Laval
B) Intéresser la population aux loisirs ainsi qu’intéresser les institutions publiques et privées de loisirs
C) Procurer des loisirs aux enfants; aux jeunes gens et jeunes filles ainsi qu’aux adultes.
D) Procurer des loisirs par l’établissement d’un centre récréatif et culturel et de terrains de jeux.
E) Favoriser la formation religieuse, morale, sociale, patriotique, athlétique et sportive de la population de la paroisse de St-Bruno de Laval.
De 1967 à 1973 le développement des loisirs se voit restreint par la disponibilité des locaux. Les premières réunions se sont tenues au sous-sol du local de la piscine Paradis. Les cours de crochets, eux, sont offerts au presbytère situé à l’époque au 2283 rue Marc. Des soirées dansantes sont organisées afin d’amasser des fonds. On offre aussi le badminton à l’école Père-Vimont. Les négociations ont suivies avec les écoles du quartier et ont permis aux loisirs d’obtenir des locaux situés près de la clientèle visée et à des tarifs raisonnables.
Le comité organise à travers les trois paroisses : St-Bruno, St-Elzéar et Ste-Béatrice des après-midis cinéma. Les projections du même film avaient lieu le vendredi à 19h00 à l’école Les Explorateurs, le samedi à 12h15 à l’école Père-Vimont et le dimanche en après-midi à l’école Paul IV. Il en coûtait 0,35$ pour l’entrée. Les cours de judo s’offraient aussi à ces trois endroits, ainsi que la philatélie et le folklore. Tout ceci a duré sept à 8 ans. Par la suite, les loisirs des paroisses St-Elzéar et Ste-Béatrice se sont formés respectivement. En 1973, la sortie du journal de quartier : QUARTIER ST-BRUNO redonne aux loisirs un caractère plus populaire. Ainsi le groupe des membres actifs composés de sept personnes augmente à vingt-quatre puis, bientôt quarante. On le distribue à l’aide de jeunes camelots dans tous les domiciles du quartier, afin que chaque citoyen puisse être informé des activités du quartier. En 1980, on change le nom du journal. À partir de ce moment, et jusqu’à la dernière édition, le nom de BRUNOUVELLES lui est attitré. En janvier 1982, le tirage atteint deux mille deux cents (2200) copies.
Dans ce petit journal, on souligne les anniversaires de mariage, les soirées bavaroises, les tournois de golf, les fêtes populaires du quartier au parc Soleil et Père-vimont, les épluchettes de blé d’inde au parc Paradis, ainsi que d’autres activités telles que: rallye automobile, tournoi de pêche sur glace, manège spectaculaire, pique-nique au camping Pontbriand.Les différents cours offerts y sont également publicisés: échecs, ballon-vollant, danse sociale, folklore, théâtre, théâtre de marionnette, broderie japonaise, cuir ciselé, balle-molle féminine, bridge, judo wendo, artisanat, chorale, flûte, guitare, poterie et céramique, gymnastique rythmique, ballon-balai, conditionnement physique, ping-pong, cinéma, pour ne nommer que ceux-là. Monsieur Maurice Charest prend la direction du journal. (tiré du brunouvelles vol.2 no.2 mai 1981)